Nattes, séide de la Coterie - Odyssée - Carte Magic the Gathering

Nattes, séide de la Coterie
(Braids, Cabal Minion)

Nattes, séide de la Coterie
(Braids, Cabal Minion)

Celui qui glace le sang
Enterré vivant

Indice de popularité :

1

euros
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Nom :

Nattes, séide de la Coterie

Coût :

CCM : 4

Type / sous-type :
Créature légendaire : humain et mignon
Rareté :

Rare

Texte :
Au début de l'entretien de chaque joueur, ce joueur sacrifie un artefact, une créature ou un terrain.

« Je suis chez moi partout où je peux trouver un cimetière décent, et où l'on ne pose pas de questions lorsque des étrangers disparaissent.»

Oracle | Imprimé

Force / Endurance: 2/2

Illustrateur :  Eric Peterson

Numéro de collection : ODY 117/350

Date de sortie : 21/09/2001

Liens externes :  

Edition

Odyssée

Autorisations en tournois :

VTG
 
LGC
 
MDN
 
PIO
 
STD
 

CMD
 
DCM
 
PAU

Braids, Cabal Minion

Legendary Creature — Human Minion

At the beginning of each player's upkeep, that player sacrifices an artifact, creature, or land.

"Home is where you can find a decent graveyard and strangers can disappear without awkward questions."

L'illustration de cette carte devait, à l'origine, être utilisée pour le Précepteur démoniaque. Mais les concepteurs de l'extension Odyssée ont tellement aimé son look qu'ils ont créé ce terrifiant personnage qui marqua l'histoire de Magic par sa folie, ainsi que cette carte.

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Le Dark Mogwaï

Retrouvez le Dark Mogwaï et la communauté des Magiciens Fous sur :


Sur le comptoir de commerce un travailleur crépusculaire
Bois du vin de sang et de fer avec sa subime Ange guerrière
Dans sa parrure de peau de serpent à l'aise comme des fêtards nocturnes
De noires fumées étouffantes sortaient de ses mâchoires de pierre

De coupes en coupes, au bar
Du Multivers, je pars
De soifs en soifs, j'ai plus
Les pieds sur terre

J'avance, la démarche forcée comme si j'avais cinq paires d'yeux
Je dis à la belle ange rétive : j'sens comme une vague de chaleur
Je suis au bord de la folie, du désastre à l'échelle planaire
Laisse-moi un goût du paradis ou viendra l'ouragan stellaire

De coupes en coupes, au bar
Du Multivers, je pars
De soifs en soifs, j'ai plus
Les pieds sur terre

Elle me répond d'une voie fantôme compte pas sur des plans à long terme
Je ne voudrais pas te vexer mais t'es plus laid qu'un Blastoderme !
Et puis d'une poussée vigoureuse je sombre dans une abîme sans fond
Au milieu d'un orage de comètes ainsi s'envole mes Illusions

De coupes en coupes, au bar
Du Multivers, je pars
De soifs en soifs, j'ai plus
Les pieds sur terre

—Yves Jamais plus ! in Les Grands Classiques du Multivers, édition collector

Proposé par Pit142857 le 09/11/2012

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