Avant tout, je vous renvoie à Keter, première Émanation pour plus de détails sur ma série d'Émanations dans sa globalité.
Outre Keter, ont déjà été publiés Chokmah, deuxième Émanation, Binah, troisième Émanation, Chesed, quatrième Émanation, Gevurah, cinquième Émanation, Tiferet, sixième Émanation et Netzah, septième Émanation. N'hésitez pas à y passer aussi.
Allons y
Version originale a dit :
Supreme glory. Hod's presence calls for submission, prostration and unfettered love.
Hod's glory veils even the Sun. It is said, in some parts, the Sun's rays only shine in the space left behind by Hod's radiance. The Sun existing only in deference and awe. Splendor submits to Hod and beauty fails before Hod. The sky withers and retracts and all that can remain without Hod languishes in mediocrity. Yes, Hod is greatness, but the price of knowing such brilliance is the sundering of one's own 'self'. Why should we bother to know our own visage or to look even at the Sun while we choose to remain so ignorant of what Hod is? It is all darkness by comparison...
-ramblings of a blind stowaway when the Captain asked his identity.
The eighth Emanation. The force that abides. Hod is what guides us when we relinquish ourselves to the flow of fate and let destiny guide our motion. Through her light, we see boundlessness of glory. Running our hands through the wind, we feel the air pull us upwards with rising force. It's only by resigning ourselves to the forces around us that we truly experience the nature of those forces.
The golden orb shines down a radiant light upon our shoulders.
Supporting the “pillar of severity”, Hod does not press back against the weight of the tree. Instead, she simply lets it pass through her, flowing like water down into the lowest portion the diagram. Through the two opposing characteristics of Hod and Netzah, relinquishing and resisting power, we gain the power to move. Together they form the power for carry ourselves through the world with grace and intention.
Found in: Prayer, nature, mysteries
Traduction approximative par moi a dit :
La gloire suprême. La présence de Hod appelle la soumission, la prostration et l'amour sans bornes.
La gloire de Hod voile même le Soleil. Il est dit, dans certains écrits, que les rayons du Soleil ne brillent que dans l'espace laissé par la radiance de Hod. Le Soleil n'existe que dans la déférence et l'admiration. La splendeur se soumet à Hod et la beauté échoue devant Hod. Le ciel se flétrit et se rétracte et tout ce qui peut rester sans Hod se languit dans la médiocrité. Oui, Hod est la grandeur, mais le prix pour connaître une telle brillance est l'éclatement de son propre "soi". Pourquoi devrions nous nous inquiéter de notre propre visage ou même regarder le Soleil alors que nous choisissons de rester si ignorant de ce qu'est Hod ? Tout est ténèbres en comparaison...
-Délires d'un clandestin aveugle quand le Capitaine lui demanda son identité
La huitième Émanation. La force qui demeure. Hod est ce qui nous guide quand nous nous laissons aller au flot du destin et laissons la destinée guider notre mouvement. À travers sa lumière, nous voyons une gloire sans bornes. En passant notre main dans le vent, nous sentons l'air nous tirer vers le haut avec une force croissante. Ce n'est qu'en nous résignant aux forces autour de nous que nous expérimentons vraiment la nature de ces forces.
L'orbe doré(e?) projette une lueur radieuse sur nos épaules.
Supportant le "pilier de la sévérité", Hod ne lutte pas contre le poids de l'arbre. À la place, elle le laisse simplement passer à trvaers elle, coulant comme l'eau à travers la plus basse portion du diagramme. À travers les deux caractéristiques opposées de Hod et Netzah, la forces résistantes et résignantes, nous acquérons la force de bouger. Ensemble ils forment le pouvoir de nous porter à travers le monde avec grpace et intention.
Trouvé dans : La prière, la nature, les mystères
Hod est une force de soumission, qui nous contraint à l'humilité. De même que Gevurah et Chesed, Hod et Netzah ont été pensés en opposition, mais différemment. Hod nous apprend l'humilité en nous rappelant l'éphémère de l'existence, et nous apprend la renonciation à soi nécessaire pour la dépasser (les points de vie étant ici la représentation du soi). Leur opposition réside dans le fait que Hod affaiblit Netzah en lui retirant ses créatures à renforcer, et Netzah contrarie Hod en accélérant la reconstruction.
Plus que deux à venir, courage.
Le 14/11/2018
Pour celui-ci en plus des remarques habituelles, je pense que je l'aime particulièrement. Déjà pour ce que Drark a dit (le côté "sacrifier un peu de soi"), mais aussi pour ses utilisations possibles.
Déjà, dans un deck avec beaucoup de lien de vie par exemple (oh tiens, c'est les bonnes couleurs, serait-ce un heureux hasard...), ça peut nous permettre de faire ce qu'on veut sans prendre trop de risques pendant notre tour.
Notons aussi que seules les créatures du joueur dont c'est le tour peuvent acquérir l'indestructible, ce qui permet de balancer les damnations entre autres comme un dingue (oh bah tiens, c'est de nouveau dans les couleurs, que de coïncidences...) pendant son tour sans rien perdre, pour ensuite faire une attaque décisive...
Du coup, ça nous permet d'en abuser salement, bien plus que certaines autres émanations, mais ça le rend aussi extrêmement sympathique à mes yeux.
Le 13/11/2018
Cartes très sympa, comme les autres du cycle, d'ailleurs.
Cependant, je pense que la répétition de « joueur » rend le texte lourd pour pas grand chose. De plus, on mélange « dans » sa bibliothèque et non « à » sa bibliothèque (cf. Bénédiction selon Gaia).
Une reformulation possible donnerait :
Le 13/11/2018
À part « acquièrent l'indestructible » et le point manquant à la fin de la dernière capacité. Je remarque simplement que Hod est un dieu viking.
Les couleurs sont celles associées aux capacités, et même si ce ne sont pas elles que j'aurais associées à la soumission, elles fonctionnent. Celle-ci est très sympa, jouant avec l'indestructible. En sacrifiant un peu de soi, on peut survivre à Sa gloire, et à toutes ces choses inférieures que l'on pouvait craindre.
1 réponse(s)
Le 14/11/2018
Intéressant tout ça. Et vas-tu faire une carte sur ce dieu ?