Invasion des Machines : résumés des histoires secondaires - Partie 1 - Magic the Gathering

Invasion des Machines : résumés des histoires secondaires - Partie 1

Invasion des Machines : résumés des histoires secondaires - Partie 1

Pour ces histoires secondaires assez denses, je n’hésiterai pas à faire des résumés un peu longs ; mais en spoiler, à la fin de chaque résumé, vous en aurez un très-résumé à lire en trente secondes.

  La storyline de Magic / L'invasion des machines

Pour ces histoires secondaires assez denses, je n’hésiterai pas à faire des résumés un peu longs ; mais en spoiler, à la fin de chaque résumé, vous en aurez un très-résumé à lire en trente secondes.

  La storyline de Magic / L'invasion des machines



Articles

le , par Drark Onogard
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Pour ces histoires secondaires assez denses, je n'hésiterai pas à faire des résumés un peu longs ; mais en spoiler, à la fin de chaque résumé, vous en aurez un très-résumé à lire en trente secondes.

Arcavios : Un cœur rayonnant



Sur Arcavios, un groupe de cinq élèves, les personnages principaux des histoires secondaires de Strixhaven, a été missionné par le Professeur Onyx de retrouver l'Invocation des Fondateurs, sort lancé par les cinq ancêtres dragons pour modeler l'école de Strixhaven. La nécromanicenne pense que cela pourra ralentir l'invasion phyrexiane, qui a déjà commencé : la plupart des professeurs sont parachevés, et naturellement Killian s'inquiète pour son père Embrose, doyen des ombres.

A ce moment, les élèves sont perdus dans les tunnels sous le Biblioplexe. Pour les aider à sortir, Quintorius, historien tout terrain anime la statue d'un professeur qui les guide en effet. Sortis des souterrains, ils découvrent une école plus morte encore que des ruines, même si les branches du Briseur de royaumes battent comme un cœur, avec cette horrible apparence de tendons et de muscles que donne l'esthétique d'Elesh Norn, Mère des Machines.

Dans leur recherche de l'Invocation, dont ils trouvent comme des particules de lumière dans l'air, croisent assez vite un élève qu'une créature – Shaile, doyenne de l'irradiance – engloutit. L'avemaine se lance à leur poursuite, jusqu'à saisir Killian, duelliste d'encre : elle recherchait son père, mais il fera l'affaire. Cependant, ce dernier arrive, sauve son fils et se met à lutter contre le professeur parachevé, pour leur faire gagner du temps. Ses camarades poussent Killian à laisser son père, car il est plus important de trouver l'Invocation.

Une fois dans le Biblioplexe, ils se sentent dans un labyrinthe, où ils évitent professeurs et zones parachevées dans un silence oppressant ou sous la lumière rouge et des portails. L'un des professeurs les repère presque, mais Quintorius anime une statue pour détourner son attention : elle démolit tout ce qu'elle voit de phyrexian.







Après des heures de recherche, ils arrivent progressivement vers un lieu plus lumineux, à l'air plus respirable, et même une plateforme totalement dépourvu de tendons phyrexians : c'est là que se trouve l'Invocation, qui est une lumière faite de mots, un véritable être vivant qui finit par prendre la forme d'une fleur à cinq pétales. Ils en concluent qu'il leur faut en lire un chacun, comme les fondateurs ; mais pour étendre la portée du sort, Dina, macéreuse d'âmes doit utiliser sa magie de croissance, renforcée par la magie mathématique de Zimone, prodige de Quandrix, en commençant par réduire l'Invocation de manière à pouvoir la transporter.

C'est alors qu'un professeur parachevé arrive dans le sanctuaire et, à la suite d'une lutte qui semble perdue, pose un pied dans le cercle rituel de Dina... et voit toute son énergie vitale absorbée. Trop d'énergie. Dina ne peut contrôler la croissance alentour, violente : un arbre va jusqu'à percer le plafond du Biblioplexe, à atteindre une taille physiquement impossible. Mais cela leur permet de monter sur le toit, où lire l'Invocation désormais assez réduite pour être dans la poche de Quintorius.







Rootha, artiste mercurielle entoure alors leur groupe de glace afin d'être protégés des perturbations pendant la lecture qu'ils commencent. Cette invocation n'est qu'une description précise de ce que doit être Strixhaven, et dire, c'est faire. En rappelant sa forme à Strixhaven, les élèves poussent Phyrexia hors de la réalité.

Cependant, le mur de glace est brisé par Nassari, doyen de l'expression et, sous le choc, Rootha interrompt son invocation, qui rate donc. Mais après un regard sur son école, Quint verse toute sa magie, toute sa vie dans le pétale pour l'activer – et il disparaît, englouti par une lumière destructrice. Mort. A moins qu'une Étincelle se soit embrasée en lui ?







En tout cas, Phyrexia est repoussée... pour l'instant, car le sacrifice de Quint n'a pas suffi à accomplir l'Invocation à fond. Les portails tentent déjà de revenir, tandis que les quatre élèves restants sont en convalescence, que les autres préparent les défenses, que Liliana supervise le tout tandis qu'Embrose, bien vivant, reste farouchement solitaire.

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Les cinq élèves de Strixhaven qui étaient les protagonistes des histoires secondaires de l'édition partent à la recherche de l'Invocation des Fondateurs, sort qui a façonné Strixhaven, et pourrait repousser Phyrexia en la forçant à ne plus exister sur le plan. Après moult péripéties dans cette école dont Embrose et Vess semblent être les seuls professeurs non parachevés, ils le trouvent, mais échouent à lire l'Invocation en entier : ils n'acquièrent qu'un peu de répit, et dans le processus, Quintorius meurt – ou transplane.


Ikoria : Survie du plus apte



Jirina Koudro mène son peuple en exode, dans les montagnes. Ils seront protégés à Bourg-sur-Lave – à une demi-journée de marche. Leur capitale, Drannith, est déjà tombée ; la fuite est leur seul espoir, et l'aide de Vivien en chasse. Mais alors qu'elle reçoit un rapport, un ignoble cri métallique retentit et répand la paniquent dans leurs rangs.

De son côté, Vivien chasse avec des alliés inattendus : les exterminateurs du vantard Chévill, fléau des monstres. Ils attendent l'arrivée de leur proie, qui est plutôt un superprédateur : tout le fuit, les raptors, même un vantasaure de trente tonnes, englouti par la créature – Lukka, voué à la ruine, au centre d'un véritable titan de chair et de métal. Son eludha, la bête avec qui il est lié, est maintenant ce monstre dont il est comme le centre nerveux.

Leur piège semble d'abord fonctionner : les mines qu'ils avaient planté explosent, désarçonnent la bête ignoble, et lui font mettre une patte dans la lave du volcan. Une pluie de flèches vient contribuer à l'immobiliser : Vivien tire alors une flèche magique dans Lukka lui-même, minuscule au milieu de la créature... mais un os en jaillit et intercepte la flèche. C'est la déroute, et les archers qui ne fuient pas assez vite sombrent dans la chair du monstre, y sont intégrés.







Si Lukka se libère, alors ils n'auront aucune chance : Vivien tente le tout pour le tout, avec son Bestiarc, elle lance un Gueuleffroi colossal qui, quoique plus petit, tient tête à la créature, trop grosse pour ne pas être maladroite, quand lui lutte avec tous ses instincts animaux. Mais un coup imprévisible, désarticulé, le frappe de plein fouet, et l'esprit se dissout. Lukka se dégage du volcan, et repart vers la route où cheminent Jirina et son peuple...

S'ils ne peuvent l'arrêter, Vivien compte au moins le ralentir, le temps que les survivants arrivent à Bourg-sur-Lave. Mais il y a le bon et le grand chasseur : le bon chasseur, il voit un monstre, qu'est-ce qu'il fait ? Bah, il tire, à tous les coups... alors que le grand chasseur, lui... il connaît ses limites. Chévill, qui est un grand chasseur, considère donc inutile de poursuivre la bête, et refuse de guider Vivien, alors qu'elle ne connaît pas le terrain. L'archère est tentée de tuer ce lâche... mais elle se retient.

Retour sur la colonne de Drannith : ce sont des félins phyrexians qui les attaquent, et que Jirina et ses soldats tentent de repousser. Mais c'est un Tigrorille féroce qui les sauve, bête qui est aussi un danger pour eux. Un constat heureux, cependant : il a développé des cristaux qui font s'évaporer le pétrole phyrexian, et l'immunisent donc dans une certaine mesure à la phyrésie.







La flèche tirée par Vivien en l'air informe la générale de l'échec de sa mission. Elle choisit alors de changer de route, sur un chemin qu'elle présente comme un raccourci, mais qui est plutôt un lieu si dangereux et escarpé qu'ils doivent abandonner leurs affaires.

Sur ce flanc de montagne, Lukka leur fait alors face : le fiancé de Jirina, exilé par la ville lorsqu'il a formé son lien avec un monstre, leur offre le pardon, le salut par Phyrexia. Mais ce lieu était dangereux à plus d'un égard : il s'agit du nid de Vadrok, Zénith du tonnerre, et la bête est territoriale. Si la créature phyrexiane a l'avantage dans la lutte, Lukka est saisi dans les mâchoires de Vadrok, arraché au reste par des flammes si chaudes que la chair semble simplement s'évaporer. Vivien en profite pour le cribler de flèches : Lukka est mort.







Vadrok se retourne alors vers le cortège, qui frémit – puis il s'envole. Les civils en veulent à leur chef de les avoir utilisés comme appât ; mais c'était la seule issue. Comme les monstres, il faut apprendre à s'adapter.

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Jirina Koudro mène une colonne d'habitants de Drannith, leur capitale, ravagée par Lukka, devenu un monstre gigantesque de chairs agrégées, jusqu'à Bourg-sur-Lave, qui devrait les protéger avec ses douves. Vivien, accompagnée de Chévill et ses braconniers, a été missionnée pour le mettre hors d'état de nuire, mais leur plan rate. Informée par une flèche tirée dans le ciel comme une fusée de détresse, Jirina prend alors la décision d'emmener les siens, sans qu'ils le sachent, sur le territoire de Vadrok. Là, Lukka les intercepte, mais lui-même est vaincu par le prédateur – qui épargne les humains.


Ixalan : Trois-Cents Marches sous le soleil



Dans le présent, les jungles autour d'Orazca brûlent, mais la garnison est prête à tenir le siège. Huatli, son cousin Inti, des lanciers et autres volontaires de l'Empire du Soleil, ainsi que Mavren Fein sont là pour maintenir leurs défenses. Malgré les tensions entre l'Empire et l'envahisseur de la Légion, ils font front commun face aux Phyrexians. Front commun pour être un appât.

Dans les mois précédents, l'Empire avait repoussé les avant-postes de la Légion du crépuscule, a assiégé ses forts, pour récupérer le territoire qui lui revenait de droit. Le vaniteux empereur avait même commencé des plans de conquête de Torrezon, le continent des vampires. Mais pendant ce temps, les signes annonciateurs de la véritable inversion étaient ignorés, survenaient dans des zones isolées.

Alors la capitale Pachatupa s'est vite trouvée assiégée. Les plans d'invasion de l'empereur ont divisé leurs forces, avec des milliers de soldats en mer. Les tempêtes empêchent les unités célestes de se déployer. Si le siège dure, la capitale mourra de faim : Huatli propose donc de le briser, en détournant l'attention des Phyrexians. Ce qu'ils veulent, ce n'est pas la vie, mais le pouvoir : avec un petit détachement, elle ira à Orazca, et invoquera là-bas les ancêtres dinosaures. Cela laissera le temps de réapprovisionner la ville.







De nuit, avec cent-cinquante lanciers, soldats de régiments éparpillés et prisonniers vampires, Huatli quitte la capitale pendant que, de l'autre côté, ils bombardent les Phyrexians. Sur la route, Mavren tente de négocier leur liberté une fois leur mission accomplie.

Temilo, soldat d'une garnison d'Orazca, les informe : leur seul chemin pour atteindre le Temple Ailé, c'est de passer par les Trois-cents Marches, exposées au soleil. Dès après ce rapport, les soldats se trouvent terrorisés par l'arrivée d'Etali – parachevé : ils fuient vers la garnison, où Huatli décide que, quoiqu'il arrive, il leur faut essayer de monter. Ils couvriront les arrières de Huatli, qui doit atteindre la salle d'oraison.

Quelque temps auparavant, c'était la dernière entrevue des deux amantes, Saheeli et Huatli. L'ingénieure, au seuil de la guerre, se demandait s'il ne valait pas mieux avoir, enfin, le repos ; Huatli lui raconte l'histoire de Yolotzin, ancienne guerrière-poétesse, comme elle. Capturée par l'Empire, elle était devenue la confidente de l'empereur pour mieux se venger : à sa mort, tout l'Empire fut endeuillé, et c'était là sa vengeance. Comme elle, ils ne peuvent arrêter cet ennemi trop puissant ; mais ils peuvent l'emporter avec eux.

Pendant que ses alliés tiennent les Phyrexians en respect, elle monte les marches, et fait sa prière une fois en haut pour appeler les ancêtres dinosaures. S'engage alors une lutte entre Etali et Zetalpa, puis Tetzimoc, Nezahal et Ghalta viennent massacrer, à leur manière, des forces phyrexianes. Mais la bataille bascule vraiment quand apparaît Zacama ; l'âme du plan, d'un cri, fait fondre en partie Etali, désactive tous les parachevés, et fait même fondre la façade d'or du Temple, révélant le basalte en dessous. La victoire est entre leurs mains.







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Sur Ixalan, où les vampires de la Légion prisonniers de l'Empire le servent dans la guerre contre Phyrexia, Huatli guide un contingent de héros pour détourner l'attention des Phyrexians : il faut lever le siège de la capitale, Pachatupa, en les attirant à Orazca, où elle invoquera les ancêtres dinosaures. Pour ce faire, elle traverse les Trois-Cents Marches jusqu'au temple pendant que ses camarades tiennent le siège de la garnison. L'arrivée de tous les ancêtres dinosaures – à cela prêt qu'Etali est parachevé – fait tourner la bataille en leur faveur, grâce surtout à l'incroyable puissance de Zacama.


Innistrad : Family Game Night



Gisa, qui a quitté l'ennui de sa Thraben conquise, mais dépeuplée, s'est rapprochée de son frère, sans résider pour autant à Havengul. Ce qu'elle interprète d'abord comme des skaabs de Geralf s'avère être en fait des Phyrexians. Quoiqu'il en soit, c'est avec plaisir qu'elle fait « jouer » ses goules contre eux. Mais elle découvre aussi avec étonnement que ces corps nouveaux ne se lèvent pas à son sifflement...

Toujours par voie épistolaire, elle se plaint à son frère qu'il ait ainsi ruiné son plaisir, persuadée que ce sont ses créations : il lui répond, paniqué, de ne surtout pas rentrer en contact avec leur pétrole, qui infecte les consciences. L'avantage est que, sans conscience, leurs morts peuvent combattre tranquillement.

Plutôt que de jouer à la guerre des zombies contre son frère comme c'était prévu, elle lui propose de le faire en équipe, contre les Phyrexians. En émulation, ils cherchent à se surpasser l'un l'autre contre l'envahisseur, dont le plus gros problème est que, comme les morts, il n'a pas peur de mourir, et son nombre semble sans fin.







Geralf tente de raccommoder d'autres skaabs, y compris à partir des skaabs désarticulés : il a pour mission de défendre Havengul. Mais ses ramasseurs lui ramènent une sorte de cerf énorme, qui fera un terrible skaab. Cette menace envoyée, Gisa en tire une autre, sorte de homard de la taille d'un rempart, des profondeurs de la plage – elle ne siffle plus, elle chante.

C'est finalement une collaboration plus profonde qui les unit : si un skaab de Geralf ne peut être réveillé par Gisa, si Gisa choisit de relâcher une de ses goules, Geralf peut travailler dessus. Ainsi, elle relâche son homard. Ainsi, il fusionne les corps de sa propre bête et de celle de sa sœur : entre terre et mer, entre béhémoth et léviathan.

Ainsi, la bataille est gagnée, les corps phyrexians brûlés. Mais une dispute éclate entre les deux : il s'agit de savoir qui a gagné... pour savoir si Gisa doit retourner en Gavonie ou non.

Eldraine : Les aventures de Turlupin, maître amoureux



Turlupin se fait couronner roi de la clairière – mais ce n'est qu'un piège des autres faeries, pour se venger de ses mauvais tours qu'il inflige même aux siens. En fait, Fifre et les autres le bannissent de cette clairière, après lui avoir déchiré l'aile malgré eux. Personne ne l'aime, pas même Mags, la rivale dont il est amoureux.

Parti des Friches pour errer dans le Royaume, Turlupin, qui cherche à voler de l'or, suit pour cela Chulane, qui voit dans le ciel un avenir terrible, mais personne ne l'écoute. Le conteur s'en va vers *Lochtwain, suivi par le faerie, pour prévenir Ayara du mal qui va descendre des cieux. A la vue de cette veuve aux époux innombrables, Turlupin oublie qu'il suivait Chulane, oublie tout : il doit être son prochain mari.







Turlupin, à la recherche d'un philtre d'amour, met le bazar chez une sorcière, qui lui donne un choix : soit il l'accompagne dans sa quête, soit elle l'envoie chercher une fleur d'amour. Elle parvient à s'en débarrasser ainsi. Dans la forêt à la recherche de cette fleur qui n'existe pas, il se trouve acculé par une sorte de chien étrange – un Phyrexian.







Mais il est sauvé par Torbran, et ils se réfugient dans une grotte, à l'entrée de laquelle ils placent un piège. Pendant le sommeil du nain, Turlupin lui vole cependant son anneau... un anneau magique, un anneau de souhait ! Il menace de transformer Torbran en tortue s'il s'approche encore pour récupérer son anneau, qui n'a plus qu'un vœu. Enfin, ils ne peuvent souhaiter la fin de l'invasion – dont Turlupin n'est pas très conscient – car le souhait ne peut s'appliquer qu'à quelque chose de ce plan.

Dehors, ils voient *Locthwain écrasé au sol, et Ayara parachevée. Leur seul espoir, c'est d'attirer l'ennemi dans une faille du sol ; leur seul espoir, c'est cet anneau. Mais Turlupin refuse toujours de le donner, et fait le vœu qu'il pleuve... du philtre d'amour. Ainsi, il s'avance en volant vers la faille, suivi par les Phyrexians, qui y tombent un à un, jusqu'à lui faire un trône de soupirants morts. La faille a englouti tant d'envahisseurs qu'il semble qu'un sort ancestral a été déclenché...

Spoiler: Montrer
Turlupin, tombé amoureux d'Ayara, part à la recherche d'une fleur d'amour. Dans sa quête, il manque être tué par un Phyrexian, mais Torbran le sauve. Il vole cependant l'anneau de souhait du nain, et après un souhait inutile, voyant Ayara parachevée et ces légions de Phyrexians, il fait le vœu qu'il pleuve du philtre d'amour : il mène ainsi l'envahisseur jusqu'à une faille qui les engloutit, comme pour activer un sort ancestral qui doit protéger le plan.

Alors c'était comment ?

     
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Le Dark Mogwaï

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Je voudrais bien rejoindre votre Ordre de Leitbur, mais ce serait possible d'avoir un équipement cool comme celui de l'Ordre de la main d'ébène ?

Cadet impatient, dernières paroles

Proposé par Dark Mogwaï le 19/06/2012

Le sondage du bas d'en bas de la page
Ce n'est pas Innistrad qu'il faut "remastered" à Magic the Gathering, c'est plutôt :

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