Drafter le funset de la Secte demande d'avoir une bonne base de mana au vu de ses nombreuses cartes colorées.
Et pour bien profiter des possibilités du set, il faut un moyen de générer rapidement les faveurs pour que les joueurs se battent pour les avoir.
Ce calice sert à cela. Il va générer les faveurs en début de partie ou fixer notre mana le restant de la partie.
Niveau lore, il récupère le sang d'un sacrifice pour qu'il soit offert au Dark Mogwaï et ainsi générer ses faveurs.
Il nous fallait un contresort commun bleu. J'ai réutilisé le principe de la fuite de mana mais en ajoutant un cantrip si l'adversaire paye le mana. Il ne faut pas se leurrer, la pioche ne sera jamais utilisée. Elle est surtout là pour un peu d'originalité.
C'est un remaniement d'une ancienne commune.
Le 05/07/2020
Je ne comprends pas le calice : quand on sacrifie une créature, on gagne déjà les faveurs. Pourquoi devoir sacrifier le calice en plus ?
2 réponse(s)
Le 05/07/2020
Si aucun joueurs n'a encore reçu les Faveurs ("si les faveurs ne sont pas sur la table"), sacrifier une créature ne fera rien de plus qu'avoir une créature sacrifiée. Ce calice permet donc de faire apparaître les faveurs, et à partir de là, de s'amuser à celui qui sacrifiera le plus.
Le 05/07/2020
Compris.
Le 05/07/2020
Le calice, quoiqu'assez utile dans la mesure où il permet de fixer le mana presque convenablement dans notre édition très colorée, sera surtout utilisé afin d'obtenir les faveurs facilement. Son grand avantage est d'être une commune, ce qui rend les faveurs plus accessibles et directement les parties plus amusantes.
Bon, la deuxième est un contresort commun, mais du coup, il est strictement inférieur à la Dispersion d'essence. Même si j'aime bien l'idée d'une carte qui se remplace si elle est inutile, ici, laisser le choix à l'adversaire l'affaiblit tout de même.
Enfin, pour ce démon... Eh bien, avec la couronne, et le fidèle absolu, c'est qu'on en a, des cartes qui changent de joueur ! C'est simple, efficace, intelligent. Heureusement cependant qu'il n'y en a pas plus, sans quoi ce serait l'anarchie, ou l'overdose.