Édit du modérateur, une tasse de café à la main : Tous les amateurs de café ne sont pas parisiens. Et tous n'ont pas de voiture. Et oui c'est de l'édit abusif. Je suis modérateur. Na.

Réponse de l'auteur, un verre de pastis à la main : De même, tous les amateurs de pastis ne sont pas marseillais. Mais je connaissais d'avance les réactions agressives des personnes consommant des boissons contenant de la caféine.

Voici une réponse à cette funcard, où je me riais sympathiquement de l'archétype du marseillais. Par conséquent, j'ai décidé de prendre le risque de me railler des parisiens, même s'ils sont plus nombreux et qu'ils ont moins d'humour. Je pourrais peut-être en faire une sur les gens de mon trou paumé ; on verra, si j'ai l'inspiration. Cela fait un certain temps qu'elle croupit au fond de mon ordinateur sans que je ne prenne la peine de la poster, la voici donc.

Les parisiens vont vite. Très vite. Comme des fourmis, ils grouillent gambadent à toute berzingue. Des fourmis qui klaxonnent et profèrent des insultes, certes. Moins que les italiens, je le reconnais. On dirait qu'ils sont pressés comme... du jus de citron ? Mouais, vive les comparaisons à la con et les clichés, je le concède ! La grande célérité traduit tout ceci. C'est un peu comme lancer un sort à et un coût d'écho, ou un pacte de négation. Si on ne peut pas payer son coût, on revient dans le passé pour annuler toutes les actions l'impliquant. J'ai le droit, c'est du déjanté.

Quant à la deuxième capacité, elle traduit un fait : le périphérique, ça cause des embouteillages. Plus il y a de monde, plus ça va leeeeeeeeentement... d'où l'arrivée en jeu engagé, qui est d'ailleurs un écho involontaire de la première funcard de ce style. Le texte d'ambiance est facilement reconnaissable, je n'ai donc pas besoin d'extrapoler à son sujet.