Magic the Gathering - Jarich, Adorateur de la Secte des Magiciens Fous


Jarich

Adorateur (10 points) résidant en Gers

Informations Générales

Membre depuis le 05/03/2018

Dernier passage le 22/10/2023 à 18:10:00 ()

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Magic

Mon niveau : Connaisseur

Mes couleurs :

Ma carte : Tourment de grêle de feu

Ma petite histoire

Jarich ne sais d'où il vient, de qui et de quand. Il fut un simple enfant miséreux, autrefois. Errant seul dans les rues crasseuses de Thraben. Un jour, un être vint lui rendre visite. Et dieux quel être il était ! Griselbrand en personne, attiré par l'esprit déjà en grande partie noirci de Jarich. Il lui proposa un marché : des pouvoirs de nécromancie contre son âme. L'enfant accepta, reçu les pouvoirs et s'enfuit, laissant là Griselbrand et sa naïveté. Mais on ne défie pas ainsi l'autorité du démon d'Innistrad. La créature maléfique le maudit à jamais, et souhaita que la noirceur de son âme prenne le dessus sur sa faiblesse d'humain. De jours en jours, Jarich souffrit et vit sa chair se putréfier par petits morceaux. Mais il lui restait une chose : sa magie. Il disparu de Thraben et se réfugia dans les montagnes rouges. Il y rencontra Blornur, un sphinx rouge qui lui enseigna une seconde magie : la pyromancie. Pendant dix ans ils restèrent côte à côte, maître et élève. Mais lorsque Jarich voulu s'en aller, satisfait de sa croissance magique, le vieux sphinx le retint, lui assurant que son apprentissage n'était pas terminé. Furieux et euphorique en même temps, tel fut le sentiment provoqué par la folie du jeune nécromancien. Il libéra son pouvoir et une armée de macchabées émergea du sol et se jeta sur la pauvre créature. Lorsqu'il entendit les gémissements du sphinx dont les morts déchiraient la chair, il cessa de marcher, puis s'assit et écouta. Il ferma les yeux et respira fougueusement l'air par ses cavités nasales, puis il tendit l'oreille pour que les hurlements de douleur de Blornur parviennent mieux à celle-ci. Quand il ne resta du vieux sphinx que les os, Jarich se mit en marche. Sa main droite acheva de mourir. Il arriva dans un petit village isolé d'Innistrad, où il entendit partout qu'un Planeswalker y habitait une chaumière. Jarich ignora son nom tout du long : lorsqu'il lui rendit visite, lorsque ce même Planeswalker accepta de lui apprendre à transplaner, lorsque Jarich fut un transplaneur aguerri et qu'il égorgea son second mentor dans son sommeil pour garder ce don pour lui. Son bras droit fut cette fois-ci entamé jusqu'au coude. Enfin, il passa sur nombres de plans où il sema la terreur et la désolation, et acquis ainsi le nom de Jarich Deathbearer : le Porteur-de-Mort. Mais son « règne » de terreur prit fin lorsque son arrogance le poussa à voler un objet à la sorcière Liliana Vess. Mais malgré la cruauté et la perspicacité de la femme Planeswalker, elle décida d'épargner Jarich. Elle le condamna à la servir jusqu'à la fin de sa vie qui s'avérait proche en vue de la malédiction qui gagnait petit à petit son corps. Elle lui permit néanmoins de chercher une solution au sort maléfique que lui avait jeté Griselbrand. Au fil des années, Liliana Vess s'intéressait de plus en plus à son valet. Elle plaça presque en lui quelque confiance alors que son bras droit avait terminé d'être rongé. Mais l'ambition et l'autorité de la belle sorcière n'en étaient pas moins dégradées. Elle garda le jeune nécromancien à son service et diminua sa puissance magique. Mais elle lui laissa ce qui comptait le plus pour lui : son âme. Ou, du moins ce qu'il en restait...

Participations


Le Dark Mogwaï

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Moi je n'étais rien, et voilà qu'aujourd'hui,
Je suis l'ange gardien du sommeil de ses nuit // jour .
Je l'aime à Mourir

Vous pouvez Détruire, tout ce qu'il vous plaira,
Elle n'a qu'à ouvrir l'espace de ses bras,
Pour tout reconstruire,
Pour tout reconstruire,
Je l'aime à Mourir.

Elle a gommé les chiffres des horloge débridées.
Elle a fait de ma vie des tigre en papiers,
Des éclats de rire.
Elle a bâti des piègeponts entre nous et l'æther,
Et nous transplanons à chaque fois qu'elle,
Ne veut pas dormir,
Ne veut pas dormir,
Je l'aime à Mourir.

Elle a dû faire toutes les guerres pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres,
De la Vie // Mort,
Et l'amour aussi.

Elle vit de son mieux son rêve errant de licorne d'opaline,
Elle danse au milieu des forêts qu'elle dessine,
Je l'aime à mourir.
Elle porte des rubans de nuit qu'elle laisse s'envoler
Elle me chante souvent que j'ai tort d'essayer
De les Détenir,
De les Détenir,
Je l'aime à Mourir.

Pour monter dans sa grotte chatoyante cachée sous les toits
Je dois clouer des notes à mes Sandals of Abdallah.
Je l'aime à mourir,
Je dois juste m'asseoir, je ne dois pas parler.
Je ne dois rien vouloir, je dois juste essayer,
De lui appartenir,
De lui appartenir,
Je l'aime à Mourir.

Elle a dû faire toutes les Guerre des justes pour être si forte aujourd'hui.
Elle a dû faire toutes les Guerre des justes,
De la Vie // Mort,
Et l'amour aussi.

Moi je n'étais rien, et voilà qu'aujourd'hui,
Je suis l'ange gardien du sommeil de ses nuit // jour.
Je l'aime à Mourir

Vous pouvez Détruire tout ce qu'il vous plaira,
Elle n'aura qu'à ouvrir l'étreinte de Serra.
Pour tout reconstruire,
Pour tout reconstruire,
Je l'aime à Mourir.

—Gérard de l'Aquilékon, Ode à une Enjôleuse de volontés, Les classiques du multivers (édition collector)

Proposé par Vognar le 29/05/2014

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Que des petites frappes à Croisetonnerre. Quel·le hors-la-loi aurait dû trainer ses bottes là-bas ?

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