Dès que j'ai vu la contrainte non mono-rouge, une idée m'est apparue (enfin quand même après une jolie réflexion, la vie n'est pas parfaite). Personnellement, quand je pense au phénix, je pense à la résurrection et à l'exultation de la vie (et la beauté de l'art). Cet oiseau mythique est notamment le symbole de la résurrection dans la culture catholique antique. On retrouve aussi toutes ces idées dans la pop-culture (larmes, plumes, cendres de phénix). Ainsi, l'idée de résurrection m'a fait penser à la mécanique regénérer, tandis que l'explosion de vie à la mécanique de prolifération. Je suis donc parti sur un phénix Simic, le Phénix domestique de Vannifar.
J'ai longuement hésité à lui mettre la condition "si vous l'avez lancé depuis votre main", mais finalement, comme tout bon phénix qui se respecte, il peut revenir sur le champ de bataille à volonté tant que la carte n'est pas exilé ou que le cycle des jetons n'est pas brisé. Ainsi, on a un bon support dans un deck marqueur, qui joue seul avec la mécanique des plumes pour éviter qu'il revienne trop facilement.
Pour la deuxième carte, je suis parti sur quelque chose de plus classique, j'ai donc renoué avec la couleur préférée des phénix : le mono-rouge. J'ai le plaisir de vous présenter Zyria, Père des Phénix !