/!\ Attachez votre ceinture et débranchez votre cerveau /!\

Pour ce deck, j'ai décidé de ne choisir que des cartes où le planeswalker Tibalt, Sang-de-démon est représenté ou ne serait-ce que cité dans le texte d'ambiance. Nous obtenons donc un deck basé sur la défausse et l'auto-défausse.

Sa stratégie est simple : on pose Tibalt, Sang-de-démon le plus tôt possible, et on met la pression à l'adversaire avec des cartes telles que rudoiement (version Duel Deck Tibalt vs Sorin) ou Éclair de flétrissement avant ou après la pose du planeswalker. On utilise à répétition le {+1} de notre planeswalker afin de le faire gonfler jusqu'à que son ultime soit prêt. Vous remarquerez que l'on ne défaussera (quasiment) que des cartes de terrain, ce qui fait que nous ne prenons aucun risque. Et là, autant dire que l'adversaire a perdu : il n'osera plus poser de créatures, de peur qu'on utilise ledit ultime afin de lui voler ses créatures et de lui porter un violent coup.

/!\Vous pouvez brancher à nouveau votre cerveau/!\

Bon, j'ai juste voulu me moquer de quelques petites choses. Premièrement, de la faiblesse de ce planeswalker qui n'a aucun impact sur le board, même si je le fais un peu tard par rapport à sa sortie (ouvrir ça en mythique, ça doit faire très très mal au cul). Deuxièmement, du malheureux symptôme décrit vulgairement comme "Symptôme du planeswalker de remplissage qu'on ne reverra jamais". Disons-le clairement : on risque de ne pas revoir de sitôt Arlinn Kord, ni Samut, la testée (encore du rouge ?) et tant d'autres. Le pire étant que, personnellement, j'apprécie l'histoire de ce planeswalker, et le trouve quasiment plus profond que Nissa Revane qui a eu plusieurs blocs pour se développer. Donc j'ai choisi le cynisme pour faire passer ce petit message. D'ailleurs, heureusement qu'il y a eu un Duel Deck le comprenant, car sinon il n'y aurait eu que le planeswalker et rien d'autre que des montagnes.